Par : Fleury LJ
Publié : 2 janvier 2013

Contes Sages

Bernard Chapuis

Les contes :

{cliquer sur le titre voulu} {{Mai premiere maîtrasse}}, Ma première maîtresse {{Sadge fôle po de bieus afaints}}, Contes sages pour enfants bleus {{Le d’rie envoul di condamné}}, Le dernier envol du condamné {{Rdyïndyou-bredon dains la neût de Nâ}}, Violoniste fantôme dans la nuit de Noël {{Lai crou di finaidge}}, La croix de finage {{Mâlhèvurouses câtches}}, Cartes fatales

Impressum

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Remarques de l’auteur et lexique

{{Contes sages et mots moins sages}} Les Contes sages ont rencontré un accueil favorable ce dont nous nous réjouissons. Ils ont par ailleurs suscité quelques questions de vocabulaire, ce qui est également positif et dénote un intérêt certain. Pour répondre à ces interrogations légitimes, j’ai répertorié les mots susceptibles de poser problème et dérouter le lecteur. Certains d’entre eux seront repris et étudiés plus à fond dans la rubrique {Etymologie} . Avant toute chose, il convient de rappeler avec insistance que le patois est une langue essentiellement orale et que, par conséquent, elle connaît des fluctuations et de nombreuses variantes, non seulement d’un endroit à un autre, mais même, parfois, d’une personne à l’autre. C’est d’ailleurs ce qui fait sa richesse et sa flexibilité. Il convient dès lors de se montrer prudent lorsqu’on affirme : « Ç’n’ât-p’ dïnche qu’an dit ! » Pour la rédaction des Contes sages, le glossaire de Jean-Marie Moine qui constitue la meilleure référence, a été souvent consulté et appliqué. Certains mots rares qui y figurent ont pu sortir de l’usage. Le même constat peut être fait à la lecture d’auteurs du passé, comme par exemple Jules Surdez. Le doute étant le propre de l’homme, j’ai soumis le manuscrit à relecture. Je profite de relever les contributions précieuses de Denis Frund et du chanoine Jacques Oeuvray. Il a été tenu compte de leurs amendements. Toute entreprise humaine étant perfectible par définition, il a cependant pu subsister ici ou là quelque incohérence ou quelque coquille. Cela n’enlève rien à l’originalité de la brochure illustrée avec talent par Marylène Valle. Une dernière remarque : Les puristes, en quelque langue que ce soit, risquent, par leur intransigeance et leur étroitesse de tarir l’expression et, partant, toute création. {Un lexique suit la publication de chaque conte sur ce site.}