Etienne Jolidon livre ici ses réflexions et cite divers auteurs, Robert Jolidon, Pierre Henry. (sources suivront) Le patois
Le patois a des racines celtes et latines. Après la Réforme, il a disparu plus rapidement dans les cantons protestants de Suisse romande. Dans les cantons catholiques, c’est suite à la Révolution française, puis à l’introduction de l’école obligatoire que la langue de nos ancêtres a connu des difficultés.
Un retour en arrière nous rappelle qu’au Concile de Tours (en 813), à (...)
Le parler franc-montagnard
Paul Bacon, Les Franches-Montagnes, Pays des Hautes Joux,
Ed. Générales SA Genève, 1957, pp.195,196
Notes de M. J. Surdez
« II est regrettable que sauf dans quelques lieux écartés les « Taignons » si attachés à leur passé, aient grandement abandonné, depuis un demi-siècle, leur parler ancestral. Les deux patois employés à la Montagne commençaient à se corrompre lorsque, de 1904 à 1907, les futurs rédacteurs du « Glossaire romand » établirent les « Tableaux phonétiques » du langage (...)
Bernard Chapuis progresse dans ses recherches étymologiques. Il livre ici la compilation de l’ensemble de ses travaux.
Recueil n°1, décembre 2013
version revue et corrigée
Introduction
Notre patois jurassien fait partie des langues d’oïl, comme le berrichon, le bourbonnais, le bourguignon-morvandiau, le champenois, le franc-comtois, le lorrain, le mayennais, le normand, le picard, le poitevin-saintongeais et le wallon. Il s’agit de langues romanes qui se sont développées dans la partie nord de la (...)
Recueil n°2, avril 2014
version revue et corrigée, avec table des matières Avertissement
La référence à une langue à propos de tel mot patois ne signifie pas que le mot en question est directement issu de cette langue. L’étymologie est autrement plus complexe. L’origine des mots, leur évolution, le rapport de filiation, tel est l’objet de cette science semée d’embûches. Notre modeste recherche n’a d’autre ambition que d’établir des similitudes. A titre d’exemple, èrbâ, écrit parfois hèrbâ, ne découle pas (...)
version revue et corrigée, avec table des matières. Avertissement
La référence à une langue à propos de tel mot patois ne signifie pas que le mot en question est directement issu de cette langue. L’étymologie est autrement plus complexe. L’origine des mots, leur évolution, le rapport de filiation, tel est l’objet de cette science semée d’embûches. Notre modeste recherche n’a d’autre ambition que d’établir des similitudes. A titre d’exemple, èrbâ, écrit parfois hèrbâ, ne découle pas de Herbst. Le (...)
version revue et corrigée, avec table des matières.
Avertissement
La référence à une langue à propos de tel mot patois ne signifie pas que le mot en question est directement issu de cette langue. L’étymologie est autrement plus complexe. L’origine des mots, leur évolution, le rapport de filiation, tel est l’objet de cette science semée d’embûches. Notre modeste recherche n’a d’autre ambition que d’établir des similitudes. A titre d’exemple, èrbâ, écrit parfois hèrbâ, ne découle pas de Herbst. Le (...)
version revue et corrigée, avec table des matières.
Avertissement
La référence à une langue à propos de tel mot patois ne signifie pas que le mot en question est directement issu de cette langue. L’étymologie est autrement plus complexe. L’origine des mots, leur évolution, le rapport de filiation, tel est l’objet de cette science semée d’embûches. Notre modeste recherche n’a d’autre ambition que d’établir des similitudes. A titre d’exemple, èrbâ, écrit parfois hèrbâ, ne découle pas de Herbst. Le (...)
Voici la ronde des jurons ...
Georges Brassens, à la suite de Rabelais a écrit un florilège de jurons bien fleuris.
Voici la ronde des jurons Qui chantaient clair, qui dansaient rond Quand les Gaulois De bon aloi Du franc-parler suivaient la loi Jurant par-là Jurant par-ci Jurant à langue raccourcie Comme des grains de chapelet Les joyeux jurons défilaient
Tous les morbleu, tous les ventrebleu Les sacrebleu et les cornegidouille Ainsi, parbleu, que les jarnibleu Et les palsambleu Tous les cristi, (...)