Actes de la Société Jurassienne d’Émulation
Investigation I, jeudi 10.03.11
premier contact, recherche superficielle, Il faudra préciser les données
Ouvrages consultés : Actes des origines à 1922
Investigation II, jeudi 17.03.11
Année/page Sujet – auteur(s)
L’orthographe d’origine est respectée
1923/213 Le Tchairboinnie, J. Surdez
1924/259 Le premier vélo – Nos pâtchous, J. Surdez
1925/201 La chanson patoise au beau pays d’Ajoie, L. Lièvre
1917/247 Les ues d’Paitjes, C. Courbat
1929/193 Proverbes patois, J. Surdez
1931/425 Petite Pièce en l’honneur de la Ste Vierge, F. Fridelance, G. Amweg
1933/217 Tiaitrïnnate, pièce en 3 actes, J. Surdez
1939/161 Lai lattre de Bonfô, A. Biétrix
1942/242 Lai Tirie-fϞs, J. Surdez
1943/298 Lai boille, J. Surdez
1944/74 Le Beniessenère, J. Surdez
1945-174 Le Frondon, J. Surdez
1946-176 Les « Béls-Ouejés », J. Surdez
1948-174 Le Taîrpie, J. Surdez
1952/226 L’or d’la bome, en patois d’Orvin, A. Et P. Léchot
1957/180 Lai bâme, J. Surdez
1959/192 Le Tiœuniat* (Le bâtard), J. Surdez
* à ce propos, notons que Tiœuniat, polysémique, signifie le coin, outil de fer du bûcheron, mais aussi le bâtard. Replacé dans le refrain de la chanson des Brandons : ataint de begnats qu’è n’y è de tiœuniats, il serait plus logique de traduire par autant de beignets qu’il n’y a de bâtards, en songeant aux Fastnachtskinder conçus lors de ces festivités.