Par : Fleury LJ
Publié : 25 avril 2014

Jolidon, carton M, théâtre, contes, Noël, bon an, lettres

Jean-Paul Prongué

d) Inventaire du « Carton M »

« Cahier bleu. 13. Dez. 1950 ». 39 pages

Pages 1-12 : pièce de théâtre sans titre, en patois. Textes dactylographiés de 12 pages, en écriture ordinaire. Personnages : Marie, Abel, Yodô, Eglantine. Cette version paraît incomplète. Il n’y a pas de traduction française. Pages 14- 35 : même pièce en patois, mais les textes sont ici manuscrits, de la main de Robert Jolidon, en écriture ordinaire. Il n’y a pas de traduction française. Pages 36 : « Parodie des Vêpres des Morts (Patois de Charmoille) ». Texte dactylographié, en français, écriture ordinaire, cinq couplets. Ce texte et tiré d’un ouvrage inconnu, No 37, p. 430. Il a été dicté par Joseph Bron, de Charmoille. (Voir ci-dessous p. 73). Page : 37 : « 38. Autre parodie en patois de Develier, p. 431 » : seules quelques vers en français sont cités. Texte dactylographié, en français. Dicté par Pierre-Joseph Monnin, né en 1822 à Develier. Idem : « 39. Autre parodie en patois de Courtedoux, p. 431 ». Texte dactylographié, en patois, écriture phonétique, traduction française. Texte dicté par Louis Vetter, de Courtedoux. Page 38. Textes en patois tiré de l’ « Almanach des Bonnes Gens du Pays de Montbéliard, année 1895 », en patois, dactylographié, en écriture ordinaire, strophes 13-15 d’un chant de Nouvel-An. Page 38. Texte dactylographié en français, d’un « Bon-An » ancien, en français, avec 13 strophes. Page 39. Texte dactylographié en écriture phonétique, en patois de Fahy, No 36, p. 430, d’un couplet sur le Saint-Martin, avec traduction française, dicté par « M. Périat, fils Sylvain, à Fahy ».

« Cahier noir a ». 41 pages

Pages 1- 7 : « Vers patois », dactylographiés, en écriture ordinaire. Patois approximatif, d’une région inconnue mais proche du Jura. Traduction probable de vers galants du XVIIIe siècle. Pages 8-9 : photocopie d’une annonce d’octobre 1953 pour financer l’édition du « Glossaire des patois de la Suisse romande ». Pages 10-28 : articles de journal (Le « Jura » ?) découpés et collés. Petits récits en patois, de Jules Surdez, en écriture ordinaire, sans traduction. Ces articles datent des années 1945-1950. Page 29 : « Noël en patois de Courgenay (Ajoie) p. 396 ». Paroles en patois, écriture phonétique, musique notée. Page 30 : locutions et proverbes en patois, écriture phonétique, sans traduction française, écriture de Robert Jolidon. Pages 31-32 : fragment de glossaire patois-français, écriture phonétique de Robert Jolidon. Pages 34-36 : textes dactylographiés de mystères de Noël en français joués à Saint-Brais en 1938 avec 33 acteurs désignés. Pages 37-38 : coupure de journal « Le Jura », décembre 1927, « Véye reconte de Nâ (vieux conte de Noël) » en patois, écriture ordinaire, sans traduction. Texte de Jules Surdez. Pages 39-41 : « Boeveniains sis-vos ! ». Coupure de journal (« Le Jura » ?), conte en patois du Cerneux-Godat, texte de Jules Surdez, écriture ordinaire, sans traduction.

« Cahier noir b ». 34 pages

Pages 1-27. Coupures de journaux (« Le Jura » ?) d’articles en français et surtout de « fôles » en patois, écriture ordinaire, sans traduction française. Ces textes sont l’œuvre de Jules Surdez et ont paru entre 1938 et 1948. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique, notamment les articles parus dans les années 1900-1920. Pages 28-29. Conte dactylographié en patois de Bonfol, « An lai Saint-Maitchin… », de Jules Surdez. Il n’y a pas de traduction française. Il a paru dans « Le Pays » du 7 novembre 1953. Page 30. Texte manuscrit de Robert Jolidon, en français, « Le dernier loup du Clos du Doubs (suite et fin) », du 31 mars 1938. Il s’agit de la fin d’un conte sur les aventures d’un loup et d’un renard paru dans un ouvrage inconnu. Pages 31-32. Texte imprimé en français, traduction d’un conte en patois rapportant les aventures d’un loup et d’un renard. Quelques termes patois traduits en note. Le texte, paru dans un ouvrage inconnu, est signé Jules Surdez et date de 1938. Pages 33-34. « Les Painies 1736. Une satire patoise, oeuvre du curé Raspieler, de Courroux ». Texte imprimé, en français, avec citations patoises traduites, signé « Le Myope ». Il est tiré d’un ouvrage inconnu et non daté.

« Contes a ». 54 pages

Textes partiellement recueillis en d’autres cotes de ce fonds. Pages 1-2. « Complainte de la Sainte-Vierge et du Mauvais Riche (patois de Courtedoux) ». Sept strophes en patois, écriture partiellement phonétique, sans traduction française, dactylographié. Notes en fin de texte. Ce poème a été recueilli chez Agathe Sangsue, née en 1833, de Courtedoux. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique, notamment les articles parus dans les années 1900-1920. Page 3. « Patois de Courtedoux (Ajoie) ». Cinq strophes en patois, dactylographiées, écriture partiellement phonétique, recueillies chez Louis Stouder, né en 1840, de Courtedoux. Pas de traduction française. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique, notamment les articles parus dans les années 1900-1920. Pages 4-5. Récit en patois, dactylographié, écriture ordinaire, contant les aventures de chasseurs de Montmelon. Pas de traduction française. Il est possible que ce récit soit l’œuvre de Jules Surdez. Page 6. « Bon-An en patois de Courroux », en français, en quatre strophes, dactylographié. « Bon-An en patois de Delémont », six strophes, en français, dactylographié. « Bon-An en patois de Delémont ». Six strophes en français, dactylographiées, sans version patoise. Le texte été recueilli chez M. Benoni ( ?) Kohler, né en 1930 à Delémont. Références indiquant que ce poème a été publié dans les « Archives » III, p. 269, No 3/11. Il s’agit peut-être des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 7. « Le Bon-An des Capucins (Patois de Develier) ». Sept strophes en français, dactylographiées, sans version patoise. Texte recueilli chez M. Saulcy, de Develier. Références : « Arch. III, p. 271, no 5 ». Il s’agit peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. « Bon-An en patois d’Alle ». Trois strophes en français, dactylographiées, sans version patoise, recueillies chez Joseph Billieux, d’Alle. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 8. « Parodie en patois de Beurnevésin ». Trois strophes en patois, écriture partiellement phonétique, dactylographiées, avec traduction française. Parodie recueillie chez Nicolas Lanzard, né en 1834 à Beurnevésin. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique, notamment les articles parus dans les années 1900-1920. Page 9. « Parodie des Vêpres des Morts (Patois de Charmoille) ». Deux strophes en patois et en latin, dactylographiées, écriture ordinaire, sans traduction française. Texte tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 10. « Remerciements ». Texte de Xavier Kohler (1823-1891), en patois et en français, dactylographié. « Autre remerciement en patois de Miécourt ». Une strophe en patois et en français, dactylographiée, écriture ordinaire, recueillie chez Bertha Pheulpin, de Miécourt. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique, notamment les articles parus dans les années 1900-1920. Page 11. « Parodie en patois de Beurnevésin ». Trois strophes facétieuses en patois, en écriture phonétique, avec version française, dactylographiées. Texte recueilli chez Nicolas Lanzard, né en 1834, de Beurnevésin. Page 12. « Autres remerciements en patois de Grandfontaine ». Deux strophes en patois, écriture partiellement phonétique, dactylographiées, avec traduction française. Texte recueilli chez Xavier Babey, de Grandfontaine. « Remerciement en patois de Courrendlin ». Une strophe en patois, écriture partiellement phonétique, traduction française, dactylographiée, Texte recueilli chez Oscar Broquet, de Courrendlin. Références à des « Archives III, p. 278 ». Il s’agit peut-être des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 13. « Bon-An en patois d’Alle ». Trois strophes en patois, écriture partiellement phonétique, traduction française, dactylographiées. Texte recueilli chez Joseph Billieux, d’Alle. « Remerciements » lorsqu’on renvoie les chanteurs les mains vides. Une strophe en patois, écriture partiellement phonétique, traduction française, dactylographiée. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 14-15. « Noël en patois de Miécourt (Ajoie) ». Six strophes en français, dactylographiées. Version patoise en écriture partiellement phonétique. Texte recueilli chez Bertha Pheulpin, de Miécourt. Notes explicatives sommaires. Le tout est tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être les « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 16-17. « La Payisson (Chant des bouviers) ». Six strophes en français, dactylographiées, avec version patoise, écriture phonétique. Texte recueilli chez Pierre-Joseph Monnin, né en 1822, de Develier. Référence à « Arch. III, p. 274, no 8 ». Il s’agit peut-être des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 18. « Bon-An en patois de Courroux ». Quatre strophes en français, dactylographiées, sans version patoise. « Bon-An en patois de Delémont ». Six strophes en français, dactylographiées, sans version patoise. Texte recueilli chez Benoni ( ?) Kohler, né en 1830 à Delémont. Références à « Arch. III, no 3 et 4, p. 269 et 270 ». Il s’agit peut-être des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 19. « Bon-An en patois d’Ajoie ». Six strophes en français, dactylographiées, sans version patoise. Texte recueilli chez Mme Fenk-Mouche, de Porrentruy. Référence à « Arch. III, p. 272, no 6 ». Il s’agit peut-être des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 20. « La Trontche de Nâ ». Texte en patois et en français, dactylographié, tiré du « Dictionnaire historique des paroisses », tome VII, sous Undervelier, par Arthur Daucourt (1849-1926), curé retraité. Page 21. « Noël en patois de Miécourt ». Six strophes en patois, écriture phonétique, dactylographiées, sans traduction française. Texte recueilli chez Bertha Pheulpin, de Miécourt. Notice finale expliquant que ce Noël n’est pas jurassien (remarque de Robert Jolidon ?). Le tout est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 22. « Bon An, variante en patois de Rocourt ». Deux strophes en patois, écriture partiellement phonétique, traduction française, dactylographiées. Texte de Gustave Quiquerez, de Rocourt. « Bon An, variant en patois de Coeuve ». Une strophe, en patois, écriture partiellement phonétique, traduction française, dactylographiée. Texte recueilli chez Thérèse Ribeaud, née en 1834 à Coeuve. Page 23. « Bon-An en patois de Porrentruy ». Sept strophes en patois, écriture partiellement phonétique, dactylographiées, sans traduction française. Pages 24-25. « Lettre patoise ». Considérations sur l’histoire de France. Texte dactylographié en patois, écriture ordinaire, sans traduction française, paru dans « Le Pays Dimanche » du 26 février 1899. Non signé. Page 26. « Lettre patoise ». Considérations sur la mode féminine. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, sans traduction française. Signé « In Aidjolat ». Publié dans « Le Pays Dimanche » du 31 juillet 1898. Page 27. « Lettre patoise ». Considérations sur les femmes bavardes. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, signé « Le Batiche di Réchavou ». Publié dans le « Pays du Dimanche » du 3 juillet 1898. Page 28. « Lettre patoise ». Considérations sur les belles-mères. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, signé « In Aidjolat », publié dans « Le Pays du Dimanche » du 19 juin 1898. Page 29. « Lettre patoise ». Considérations sur un futur mariage. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, signé « Djoset le Mentou », publié dans « Le Pays du Dimanche » du 12 juin 1898. Pages 30-31. « Lettre patoise ». Plaisanterie d’un hâbleur chez des naïfs. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, signé « Djânat di Trambiat », publié dans « Le Pays du Dimanche » du 20 mars 1898. Page 32. « An lai Rédaction di Pays… ». Bonnes blagues d’antan. Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, signé « In Aidjolat », publié dans « Le Pays du Dimanche » du 20 février 1898. Page 33. « Adoration des Mages ». Quatre strophes en patois, dactylographiées, écriture ordinaire, transcription approximative, sans traduction française. Pages 34-35. « Lettre patoise ». Contre le monopole des tabacs. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, non signé, publié dans « Le Pays du Dimanche » du 25 juin 1899. Page 36. « Lettre patoise ». Critiques contre une famille riche. Texte dactylographié, en patois, écriture ordinaire, non signé, publié dans « Le Pays du Dimanche » du 2 avril 1899. Pages 37-39. « Lettre patoise ». Le minuscule pâturage du Bastien de Montavon et la réception manquée du sous-préfet. Deux textes dactylographiés, en patois, écriture ordinaire, non signés, parus dans « Le Pays du Dimanche » du 13 février 1898. Pages 40-41. « Lo diaîle â môtie ». Texte dactylographié en patois, écriture ordinaire, sans traduction française, non signé. Le texte ne paraît pas complet. Page 42. « Inne belle neut de Saint-Sylvestre ». Texte dactylographié, en patois, sans traduction française, écriture ordinaire. Conte probablement recueilli par Jules Surdez. Pages 43-48. « Le tché du bon véye temps ». Notes de Jules Surdez. Texte en patois montagnard, dactylographié, écriture ordinaire. Descriptions ethnographiques sur la maison franc-montagnarde du XIXe siècle. (Voir la suite ci-dessous Contes b, p. 38-40). Pages 49-50. « Reconte de dou laborès que revenien dène fère de campagne ». Dialogue en patois, dactylographié, écriture ordinaire, non signé ni daté. Considérations louangeuses sur le gouvernement de Napoléon Ier par deux laboureurs. Leur patois n’est pas jurassien ou alors il est traduit approximativement (vers 1810 ?) et déformé. Pages 5-52. « Casimir ». Texte poétique dactylographié en patois approximatif, écriture ordinaire, sans traduction française. Il serait traduit du français en patois par « Stockmar le jeune » (Joseph Stockmar, 1851-1919). Texte satirique radical contre le conservateur Casimir Folletête qui a fait un enfant à sa servante à l’époque du Kulturkampf. Page 53. « Le Bon-An 1874 ». Texte en patois approximatif, dactylographié, quinze strophes, écriture ordinaire, sans traduction française. Satire contre les curés vieux-catholiques installés dans les cures d’Ajoie à l’époque du Kulturkampf.

« Contes b ». 69 pages

Page 1. « Lettre patoise. Dâ lai côte de mai ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, paru dans « Le Pays du Dimanche » du 3 septembre 1899. Non signé. Pages 2-3. « Les cheûtes d’enne pâtche miraculeuse ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, paru dans « Le Pays du Dimanche » du 24 juillet 1898. Signé « Ci Jules des bossas ». Page 4. « Enne riôle ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, paru dans « La Revue jurassienne, 1949, p. 58 ». Non signé. Page 5. « Chanson pauvriotique ». Quatre strophes en français, dactylographiées. Pamphlet politique rimaillé. Probablement de Louis-Valentin Cuenin (1819-1868), auteur satirique du XIXe siècle. Pages 6-7. « Lettre patoise. Djain Djaitche et ses doues fannes ». Texte dactylographié en patois, écriture ordinaire, signé « In Vadais ». Publié dans « Le Pays du Dimanche » du 23 janvier 1898. Pages 8-9. « Lettre patoise. In Capucin que dit « Aye (oui) ai peu quéque tchose aipré ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, signé « In Vadais ». Publié dans « Le Pays du Dimanche du 27 février 1898. Pages 10-11. Petit glossaire français patois de Delémont. Les mots en patois sont transcrits en écriture phonétique par Robert Jolidon. Les noms des locuteurs sont indiqués. Pages 12-13. « Conversation de deux laboureurs au retour d’une foire de campagne ». Texte français dactylographié, de circonstance, d’une conversation entre deux paysans favorables au régime napoléonien vers 1810. Page 14. « Voyerie ». Texte de deux strophes en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. « Lai tchievre chu le tchêne ». Quatre strophes en patois, dactylographiées, écriture ordinaire. « Lo cri des oures ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, chanté par le veilleur de nuit à minuit. A Porrentruy ? Pages 15-17. « Bon-An en patois de Montbéliard ». Texte en quinze strophes en patois, dactylographié, écriture ordinaire, traduction française. Tiré de l’ « Almanach des Bonnes Gens du Pays de Montbéliard » de 1895. Page 18. « Lo tchaigrin de lai Philomène ». Texte en six strophes en patois, dactylographié, écriture ordinaire, non signé, ni daté. Page 19. « Prière patoise ». Texte en patois de la Montagne, dactylographié, avec traduction française, recueilli par Jules Surdez, tiré des « Actes » de l’Emulation de 1930, p. 95. Pages 20-23. Discours publié dans le « Franc-Montagnard » du 14 août 1947. « Discours » d’Eugène Péquignot au Marché-concours de Saignelégier en 1947. Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Pages 23-27. Sonnet en patois du Clos du Doubs, transcrit à la main par Robert Jolidon, écriture partiellement phonétique. Glossaire en fin de texte. Traduction en français de Jules Surdez, texte dactylographié paru dans le « Bulletin du Glossaire » no 1, 1903, p. 13-14. Ecriture ordinaire. Notes de E. Tappolet. Glossaire commenté manuscrit de Jolidon. Sagesse populaire d’antan. Page 28. Coupure de journal « Lai gazette de mon velaidge. Lai Climène ai l’Exposition », imprimé en patois de Montbéliard, vers 1950, signé « Tante Madelaine ». Pages 29-32. Texte en patois « L’âme en ponne » en patois de la Montagne. Texte manuscrit de Robert Jolidon, en patois de la Montagne. L’une des colonnes est transcrite en écriture ordinaire, l’autre en écriture phonétique. Pas de traduction française. Travail probable de Jules Surdez dans le « Bulletin pédagogique du Pays » no 133, du 31 décembre 1945. Pages 33-37. Série d’articles en patois parus dans le « Pays » de l’année 1898, transcrits en écriture ordinaire par Robert Jolidon. L’ordre des feuillets et donc des récits de ces « Lettres patoises » est problématique. Pages 38-40. Suite des observations en patois de Jules Surdez sur la maison franc-montagnarde au XIXe siècle (voir le début, Contes a, p. 40-43). Texte dactylographié paginé 6-8, écriture ordinaire avec traductions épisodiques. Document d’ethnologie. Pages 41-44. Texte « Une belle nuit de Saint-Sylvestre », de Jules Surdez, en patois d’Ocourt, dactylographié, écriture ordinaire, pas de traduction française. Paru dans « Le Jura », date inconnue. Page 45-50. « La pir d mlain, Conte en patois de Plagne (Jura bernois) » Texte dactylographié en patois, trois pages, écriture phonétique incomplète, avec traduction française. Recueilli par A. Grosjean. Remarques sur le patois de ce village. Tiré du « Bulletin du Glossaire de la Suisse romande » 1906, p. 59-63. Page 51. « Djain d’Nivelle ». Poème de quatre strophes, dactylographié, en patois de la Montagne, écriture ordinaire, sans traduction française. Communiqué par Eugène Jeangros, de Porrentruy. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », Porrentruy, 1918, II, No 43, p. 65. Page 52. « Ohé ! Carimantrant ! ». Six strophes en patois, dactylographiées, écriture ordinaire, sans traduction française. Pas d’autres précisions. Page 53. « Dainse, dainse, tiu gayou ». Poème en trois strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », I, no 32, p. 39, Porrentruy, 1916. Page 54. « Le vïn ». Poème de quatre strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », I, p. 62-63. Eloge de l’alcoolisme. Page 55. « Les étius ». Poème en patois, de cinq strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Composé par F. Feusier, version de X. Kohler. Pages 56-57. « Sonnet. Patois du Clos du Doubs ». Poème de quatre strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, avec traduction française. Recueilli par Jules Surdez, notes linguistiques d’Ernest Tappolet. Tiré du « Bulletin du Glossaire des patois de la Suisse romande », 1903, p. 13-15. Pages 58-59. « Mam’zelle Suzon ». Poème de huit strophes en patois, dactylographié, en écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », I, p. 14-15. Notes linguistiques finales d’un auteur inconnu. Page 60. Quatre petites berceuses en patois, dactylographiées, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré d’un ouvrage inconnu, peut-être « Vieux airs, vieilles chansons », I. Identité des déposants. Page 61. « Evad’nans ». Poème de quatre strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. « Dodo, ci popon », berceuse en patois, dactylographiée, écriture ordinaire, avec traduction française. Ces deux poèmes sont tirés de « Vieux airs, vieilles chansons », II, p. 10-11 et 27. Page 62. « Lai relïndje ». Poème de dix strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons » I, p. 42-43. Page 63. « Lai tiulatte ». Poème de cinq strophes, dactylographié, en patois, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons » I, p. 43-44. Pages 64-65. « Nos baichattes ». Poème en patois, de dix strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons » I, p. 58-60. Page 66. « C’ât derrie tchie nos ». Poème en patois, sept strophes, dactylographié, écriture ordinaire, pas de traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », II, p. 66. Page 67. « C’ât les baichattes de Courroux ». Poème en patois, de neuf strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », II, p. 22-23. Pages 68-69. « Les Bouebes ». Poème en patois, de six strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de Vieux airs, vieilles chansons », II, p. 9-10. Version un peu différente, strophes trois à sept, en patois, dactylographiée, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de « Vieux airs, vieilles chansons », II, p. 106-107.

« Contes C ». 76 pages

Pages 1-2. « Noël en patois de Miécourt (Ajoie) ». Six strophes en patois, dactylographiées, écriture phonétique, avec traduction française. Communiqué par Bertha Pheulpin, de Miécourt. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 3. « Doue, afenat. Sonnet ». Quatre strophes d’une berceuse en patois, dactylographiées, écriture ordinaire, sans traduction française. Communiqué par Jules Surdez. Tiré des « Actes » de l’Emulation 1919, p. 152. Page 4. « Autre piche-mai (patois de Bonfol) ». Texte poétique en français, avec quelques mots en patois, dactylographié, écriture ordinaire. Communiqué par Marie Macquat, née en 1840, de Bonfol. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 5-6. « Petite pièce en l’honneur de la Ste. Vierge ». Texte en français, dactylographié. Signé : Lachat. Notes finales. Tiré des « Actes » de l’Emulation 1931, p. 425-430. Pages 7-8. « Le Progrès ». Chanson humoristique, paroles de C. Courbat. Cinq strophes en patois, dactylographiées, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré des « Actes » de l’Emulation 1927, p. 321-322. Page 9. « Patois de Courtedoux (Ajoie) ». Traduction française de cinq strophes d’un poème probablement intitulé « Lai tiulatte ». Communiqué par Louis Stouder, né en 1840, de Porrentruy. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 10. « Patois de Bressaucourt (Ajoie) ». Poème en patois, de quatre strophes, dactylographié, en écriture phonétique, sans traduction française. Communiqué par Mme Daucourt-Duplain, née en 1819, de Bressaucourt. Notes explicatives. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 11. « Les Aidjolats de 1878 ». Poème en patois, de cinq strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré du « Pays du Dimanche » du 6 février 1898. Pages 12-13. « Coçi çoli ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré du « Pays du Dimanche » du 6 mars 1898. Pages 14-15. « Véye tchainson », de Lucien Lièvre. Cinq strophes en patois, dactylographiées, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de la « Revue jurassienne » 1952, p. 48. Pages 16-17. « Trâ djuenes baichattes ». Poème en six strophes en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Œuvre de Lucien Lièvre tirée de la « Revue jurassienne », 1952, p. 58. Page 18. « Lai prayïere de dous pouers véyes ». Poèmes en patois de trois strophes et un envoi, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Texte de Lucien Lièvre tiré de la « Revue jurassienne » 1952, p. 32. Page 19. « Tchainson d’hèrbâ ». Poème en huit strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction mais avec notules finales. Œuvre de Jules Surdez tirée de la « Revue jurassienne », 1952, p. 122. Pages 20-23. « Véye reconte de Nâ (vieux conte de Noël) ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Œuvre de Jules Surdez tirée du « Jura » de décembre 1927. Page 24. « Yâdine ». Comptine en patois, de neuf strophes, dactylographiée, écriture ordinaire, sans traduction française. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 25-26. « I m’en feux voue mai maîtresse ». Poème en douze strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française, sauf certains mots. Recueilli chez Louis Stouder, de Porrentruy, complété par F. Fridelance. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 27. « A cabairet », poème en patois de trois strophes. « Bagatelle », poème en patois d’une strophe. Dactylographiés, écriture ordinaire, sans traduction. Communiqués par Louis Stouder, de Porrentruy. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 28. « Les véyes baichattes ». Poème en patois de sept strophes, dactylographié, écriture phonétique, sans traduction française. Communiqué par Eug. Pheulpin, de Miécourt. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 29. « Lou borouquie et la mô ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, avec traduction française. Pages 30-32. « Boeveniains sis-vos ! ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Le texte n’est pas complet. Le patois est celui de la Montagne. Texte probablement communiqué par Jules Surdez. (voir suite p. 74). Page 33. « Complainte de la Sainte Vierge et du Mauvais Riche. Patois de Courtedoux ». Poème en huit strophes, en français, dactylographié, communiqué par Agathe Sangsue, née en 1833, de Courtedoux. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 34-35. « Les Paniers ». Poème célèbre de Raspieler, du XVIIIe siècle, ici en patois de Charmoille, du vers 30 au vers 80. Texte dactylographié, écriture phonétique, sans traduction française. Œuvre de F. Fridelance, introduction de Rossat, tiré du « Bulletin du glossaire des patois de la Suisse romande », 1909, p. 9-13. Pages 36-37. « Noël en patois de Courgenay (Ajoie) ». Poème de quatre strophes, traduction en français, dactylographié, écriture phonétique. Communiqué par M- Girard-Mouhat, de Courgenay. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 38. « Patois de Bressaucourt (Ajoie) ». Poème de quatre strophes, en français, dactylographié, communiqué par Mme Daucourt-Duplain, née en 1819 à Bressaucourt. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 39. « Noël en patois de Montsevelier (Delémont) ». Poème de trois strophes, en patois, dactylographié, écriture phonétique, traduction française des strophes 1 et 2. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 40. « Lai Saint-Maitchïn ». Patois de Villars dur Fontenais. Poème en cinq strophes, dactylographié, écriture phonétique, sans traduction française. Le texte est incomplet. Page 41. « Bon-An en patois de Porrentruy ». Poème en français, de huit strophes, dactylographié. Communiqué par M. Coeudevez, né en 1830, de Porrentruy. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 42. « Complainte du pauvre pèlerin. Patois de Courtedoux ». Poème en dix strophes, en français, dactylographié. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 43. « I ai in aimant ». Poème en cinq strophes, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré de l’ « Histoire des paroisses de l’Ancien Evêché de Bâle » d’Arthur Daucourt, tome VII, Undervelier, p. 283-284. Page 44. « Adoration des Mages ». Poème en patois, de quatre strophes, incomplet, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Explications techniques en français à la fin de chaque strophe. Pages 45-46. « Lais tchainson di biaie ». Poème en trois parties, en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Œuvre de Lucien Lièvre, parue dans les « Actes » de l’Emulation 1904, p. 100-101. Page 47. « Aine Pipaie. Sonnet, genre Coppée ». Poème en patois, de quatre strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Œuvre de Lucien Lièvre parue dans les « Actes » de l’Emulation, 1920, p. 234. Page 48. Fragments de poèmes divers. « Lai Trontche de Nâ », etc. En patois, dactylographiés, écriture ordinaire. Page 49. Fragment de poème en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Texte de Jules Surdez en patois de la Montagne, daté de 1924, sur le thème de meunier et du charbonnier. Page 50. « Nos pâtchous (conte) ». Texte en patois de Jules Surdez, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré des « Actes » de l’Emulation 1924, p. 259-260. Page 51. « Enne bin belle moue ». Texte en patois, sous la forme d’une lettre adressée à « Djaquelai », dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Page 52. « Tiaint veux-te te mairiay ? ». Poème en patois, en cinq strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Tiré du « Dictionnaire historique des paroisses de l’Ancien Evêché de Bâle », d’Arthur Daucourt, tome VII, Undervelier, p. 284-285. Page 53. « De devain lai vèlle ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française, signé « Batiche di Réchavou », tiré du « Pays du Dimanche » du 22 mai 1898. Pages 54-55. « Les Fayes ». Poème en patois, quatre strophes, dactylographié, écriture ordinaire, pas traduit en français. Œuvre de Lucien Lièvre publiée dans les « Actes » de l’Emulation 1922, p. 137-13 Pages 56-57. « Les ues dé Paitjes ». Poème humoristique de C. Courbat, dactylographié, en patois, écriture ordinaire, cinq strophes, pas de traduction française. Publié dans les « Actes » de l’Emulation 1927, p. 247-248. Page 58. « A chire Djean Bron ai Berne ». Poème en patois de Joseph Stockmar (1851-1919), dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française, publié dans les « Actes » de l’Emulation 1936, p. 54. Notices explicatives en fin de texte. Page 59. « Le premie vélo ». Texte en patois de Jules Surdez, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française, publié dans les « Actes » de l’Emulation 1924, p. 259. Page 60. « Berceuse ». Poème en patois, de trois strophes, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française, publié dans les « Actes » de l’Emulation 1921. Pages 61-62. « Le bon véye temps ». Poème en patois de Jules Surdez, douze strophes, dactylographié, écriture ordinaire, pas de traduction française, publié dans les « Actes » de l’Emulation 1918, p. 143-144. Page 63. « Complainte du Pauvre Pèlerin (patois de Courtedoux) ». Poème en patois de sept strophes, dactylographié, écriture phonétique, sans traduction française, incomplet. Pages 64-65. « Lettre d’excuse ». Lettre en patois de Jules Surdez, dactylographiée, écriture ordinaire, avec traduction française, publiée dans les « Actes » de l’Emulation 1929, p. 22. Page 66. Feuillets dépareillés. Page 67. « Petette piece en l’honneur d’lè Sainte Vierdje ». Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, incomplet, sans traduction, son signé. Page 68. Fragment d’un poème en patois, dactylographié, écriture phonétique, strophes 8-12. Recueilli auprès d’Agathe Sangsue de Courtedoux, née en 1833. Ce texte est peut-être tiré des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Pages 69-70. Texte en patois, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction, mais avec petit glossaire en fin de texte. Il s’agit de la fin du texte de Camille Courbat sur le chanvre en Ajoie, paru dans les « Actes » de l’Emulation 1924, p. 113-116. Page 71. « La légende des puces ». Texte en patois franc-montagnard, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction, signé « Djoset le Mentou ». Tiré du « Pays du Dimanche » du 30 janvier 1898. Page 72. Fragment final (page 2) d’un texte en patois du Clos du Doubs, dactylographié, écriture ordinaire. Sans traduction française, signé Jules Surdez. Page 73. Fragment final d’un texte en patois et en latin (parodie des vêpres), strophes 3-5, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction. Recueilli chez Joseph Bron, de Charmoille. (Voir ci-dessus p. 36). « Autre parodie en patois de Develier ». Texte court, en patois, latin et français, dactylographié, écriture ordinaire, recueilli chez Pierre-Joseph Monnin, né en 1822 à Develier. Ces textes sont peut-être tirés des « Archives suisses des traditions populaires », périodique consacré aux patois et au folklore helvétique. Page 74. Fin d’un texte en patois du Cerneux-Godat, « Boeuveniains sis-vos trétus ai lai Montaigne », dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française, signé Jules Surdez. Ce texte est sans doute tiré d’un journal jurassien. (Voir début p. 30-32). Page 75. Strophes 10-15 d’un poème en patois, sans doute « Yâdine », dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction mais avec notices finales et variantes. Page 76. « Les cheûtes d’enne pâtche miraculeuse ». Texte en patois montagnard, incomplet, dactylographié, écriture ordinaire, sans traduction française. Texte dû probablement à Jules Surdez.